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LE PRESIDENT ET LE MEDEF
- par CGT SEVREY
le 11/11/2014 @ 08:15 Intervention télévisée du président de la République Le Président maintient le cap… et le Medef tient la barre !vendredi 7 novembre 2014 Tout pour le patronat ! Le jour même où il se confirme que l’Union européenne encourage le dumping fiscal le plus débridé au profit des grandes entreprises et des principaux actionnaires, le Président de la République réaffirme sa volonté d’engager plus que jamais la France dans le carcan de la politique libérale imposée à Bruxelles : budgets publics contraints et restrictions pour les plus humbles, cadeaux et largesses fiscales pour les entreprises et les plus riches. Il répond aux français par un objectif de replacer la France au premier rang de la compétition mondiale. La baisse des cotisations patronales introduite par le Crédit d’impôt compétitivité emploi (CICE) deviendra définitive à partir de 2017. Autant de financements transférés des entreprises vers ceux qui paient des impôts : les salariés et les ménages. Autant de droits sociaux réduits pour les mêmes. Les réformes des retraites, y compris celle de 2014, produisent les dégâts annoncés par la CGT : le Président propose l’aumône avec une allocation de survie pour les seniors sans emploi entre 60 ans et 62 ans. Une représentante du patronat crache sur le mouvement syndical et réclame des délégués maisons comme interlocuteurs : la réaction particulièrement molle de François Hollande montre quels alliés se ménage ce gouvernement. Ses déclarations sur le compte pénibilité sont venues confirmer ce positionnement. Les employeurs vent debout contre toute prise en compte de la pénibilité au travail gagnent une nouvelle étape contre la mise en œuvre de la loi : un chef d’entreprise et un parlementaire auront mission de simplifier le dispositif afin « que cela ne coûte rien à l’entreprise ». Et la cotisation, incluse dans la loi pour à la fois financer cette prise en compte et dissuader le recours à des situations d’emploi pénibles, ce sont les salariés qui devront régler l’ardoise ? Le Président de la République confirme son obstination à poursuivre une politique d’austérité sélective, impitoyable pour les salariés, les retraités, les privés d’emploi, mais très aménageable pour les entreprises et les actionnaires. La CGT confirme pour sa part sa détermination à rassembler le monde du travail, pour défendre de véritables solutions de relance de l’économie. Le retour de la croissance –reconnu comme une priorité par François Hollande– passe par une vraie priorité à l’emploi, une revalorisation du travail dans toutes ses dimensions et une amélioration du pouvoir d’achat. Le problème ce n’est pas le coût du travail, c’est le coût du capital ! Plus que jamais la CGT appelle les salariés à s’investir dans les mobilisations à venir : le 18 novembre pour la défense de l’emploi et du pouvoir d’achat dans la Fonction publique et le 6 décembre aux côtés des travailleurs précaires. Montreuil, le 7 novembre 2014
18 Novembre : rassemblements unitaires
- par CGT SEVREY
le 03/11/2014 @ 14:30 Fonctionnaires Rassemblements unitaires le 18 novembrelundi 27 octobre 2014 , par Frédéric Dayan Quatre syndicats de fonctionnaires (CGT, FA-FP, FSU et Solidaires) appellent les agents de la fonction publique à organiser des rassemblements le 18 novembre à Paris devant l’Assemblée nationale et le même jour partout sur le territoire" pour réclamer "des perspectives", notamment en matière de salaires. L’initiative de mobilisation unitaire est d’autant plus remarquable que les syndicats de fonctionnaires sont engagés respectivement dans la campagne électorale des élections dans les Fonctions publiques de l’Etat, des collectivités et des hôpitaux. Les quatre syndicats soulignent dans un communiqué commun, qu’ils "n’ont eu de cesse de réclamer collectivement une négociation annuelle sur les salaires". "Le gel des salaires des agents de la Fonction publique se poursuit", une situation que le gouvernement entend maintenir jusqu’en 2017, dénoncent les syndicats, en référence au point d’indice, qui sert de base au calcul des salaires des quelque cinq millions d’agents et n’a pas été revalorisé depuis 2010. Pour les quatre syndicats, "la perte de pouvoir d’achat de tous les agents est considérable" et "aujourd’hui, plus d’un million d’agents vivent avec des revenus équivalents au Smic". Les agents publics sont aussi inquiets pour l’emploi, les créations de postes dans les ministères "prioritaires" (Police, Justice, Education) devant être compensées par des suppressions ailleurs, et à cause des projets en cours, comme la réforme territoriale. Un courrier à François HollandeLes quatre syndicats CGT, FA-FP, FSU et Solidaires se sont adressés par un courrier au chef de l’État dans lequel ils affirment que "les réformes pour réussir et être utiles à la société ne peuvent pas avoir pour objectif central la recherche de réduction de coûts. Or, les inquiétudes sont grandes aujourd’hui face aux projets en cours : réforme de l’Etat, revue des missions publiques, réorganisation territoriale, projet de loi santé... Nous réaffirmons que le modèle social de notre pays est un facteur de cohésion sociale et de solidarité. C’est aussi un outil de lutte contre les inégalités. Ce sont bien ces enjeux qui doivent être le moteur des réformes à conduire. La dépense publique est en réalité autant d’investissements pour notre pays. Et derrière ces investissements, il y a des services publics, des femmes et des hommes qui les servent chaque jour avec un grand engagement. Pour assurer ces financements, une véritable réforme fiscale basée sur davantage de justice sociale, symbolisée par l’impôt progressif sur le revenu, est indispensable. Il est nécessaire également d’assurer la lutte contre la fraude fiscale qui s’élève aujourd’hui à 60 milliards d’euros. Les aides aux entreprises, sans contrôles ni conditionnalités notamment en terme d’emplois, ne produisent aucunement les résultats nécessaires. En revanche, elles exigent un effort qui pèse essentiellement sur les actifs et les retraités.
BUDGET DE LA FRANCE 2015
- par CGT SEVREY
le 20/10/2014 @ 09:29 Budget 2015 Un budget qui plait surtout aux patrons et aux technocrates de Bruxelles
Le gouvernement présente les grandes lignes du budget 2015. La couleur avait déjà été affichée par le président de la République et le gouvernement : il s’agit bel et bien d’un budget d’austérité dans la droite ligne de l’économie de l’offre que veut promouvoir le pouvoir en place. Les dépenses publiques utiles vont être amputées de 21 milliards d’euros, dont 7 milliards sur le compte de l’Etat, 4 milliards sur les dotations des collectivités et 10 milliards au détriment de la Sécurité sociale. Les conséquences économiques et sociales de ces coupes budgétaires sont graves. La baisse des dotations des collectivités pèse sur l’emploi et les investissements, sachant que deux-tiers des investissements publics sont réalisés par les collectivités. S’agissant de la Sécurité sociale, ces coupes vont aggraver la situation des plus modestes, par exemple en ce qui concerne les soins de santé : de plus en plus de ménages à revenu modeste et d’étudiants se privent de ces soins. En revanche, les entreprises continuent d’être servies généreusement. Même Le Figaro relève que « les entreprises seront à nouveau les grandes gagnantes ». En plus du Crédit d’impôt pour la compétitivité et l’emploi (CICE), elles bénéficieront des nouvelles baisses de cotisations sociales, de l’allégement de la contribution sociale de solidarité des sociétés et contribution additionnelle (C3S), qui est un impôt sur le chiffre d’affaires, et de la suppression d’une dizaine de taxes. Le gouvernement présente la suppression de la première tranche de l’impôt sur le revenu comme une réforme favorable aux plus pauvres. Loin d’être une réforme, c’est un trompe l’œil visant à mettre en sourdine le fait que ce qui pèse surtout sur les ménages les plus modestes, ce sont les impôts indirects et particulièrement la TVA. D’autant plus que la taxe sur le gazole va encore augmenter de 2 centimes au litre. Contrairement à ce que veut faire croire le gouvernement, nous ne sommes pas sortis de la crise économique. L’activité économique stagne, l’emploi continue de baisser surtout dans l’industrie, la précarité, la pauvreté et les inégalités se développent. Ce budget d’austérité est le contraire de ce dont le pays a besoin. La Cgt réaffirme la nécessité d’une véritable révision des politiques publiques dans l’intérêt des salariés, des retraités, des privés d’emploi, dans l’intérêt aussi de la recherche et de l’investissement productif. Il faut mettre à plat l’ensemble des aides, exonérations et abattements sociaux et fiscaux dont bénéficient les entreprises. Ce sont autant de dépenses publiques qui ne profitent pas, ou très peu, à l’emploi et à l’investissement productif. La suppression des aides inutiles est indispensable pour dégager des marges pour développer les services publics de qualité et reconquérir la Sécurité sociale. Il faut aussi mettre en place une véritable réforme fiscale pour à la fois lutter contre l’injustice sociale et améliorer l’emploi et l’investissement productif. Autant de raisons pour que chaque militant, syndiqué, salarié et citoyen se mobilise et manifeste pour l’appel du 16 octobre 2014. Montreuil, le 1er octobre 2014
Ecotaxe Nouveau recul gouvernemental devant les patrons !vendredi 10 octobre 2014 C’est par voie de presse que ce gouvernement qui érige le dialogue social en étendard nous informe : l’écotaxe, c’est fini ! fermez le ban ! Après les reports et les atermoiements, c’est donc l’enterrement de première classe pour la « mesure phare » du Grenelle de l’environnement. Sur ce dossier, comme sur d’autres, il aura suffi que le patronat demande pour que le patronat obtienne. Le gouvernement de Manuel VALLS est décidemment aussi docile avec les ami(e)s de Pierre GATTAZ qu’il est dur et brutal avec les salarié(e)s, privé(e)s d’emploi et retraité(e)s. Au-delà de cela, c’est un épouvantable gâchis financier puisque les contribuables, nonobstant les sommes colossales déjà engagées, devront payer 260 millions d’euros par an pendant onze années ou 800 millions d’euros en une seule fois. Un formidable gâchis humain aussi à venir pour les centaines de salariés d’Ecomouv embauchés pour la circonstance. Un formidable gâchis politique enfin et une capitulation pure et simple sur le principe pollueur/payeur pourtant admis de toutes parts. Cela renforce notre conviction de l’urgence de l’intervention des salarié(e)s de notre pays sur le terrain social. Le 16 octobre en sera une nouvelle étape. Montreuil, le 10 octobre 2014
Retraite et Apprentissage
- par CGT SEVREY
le 20/10/2014 @ 09:18 Retraite L’apprentissage enfin pris en compte pour la retraitevendredi 3 octobre 2014 
Depuis plusieurs années, la CGT, avec des organisations de jeunesse –JOC, UNEF, UNL– agit pour la prise en compte des périodes d’apprentissage, de stage, d’étude et de recherche d’emploi au titre de la retraite. Un décret concernant la prise en compte des périodes d’apprentissage vient enfin d’être proposé par le gouvernement. La CGT se félicite du vote favorable unanime au Conseil d’administration de la caisse nationale d’assurance vieillesse (CNAV) ce 2 octobre 2014. Pourront donc, désormais, être validés tous les trimestres correspondant à la durée du contrat d’apprentissage, ce qui n’était pas le cas jusqu’à maintenant. Cette victoire est un premier pas dans la reconnaissance, pour la future retraite des jeunes générations, des périodes préalables à l’entrée dans un premier emploi stable. La CGT exige ainsi que le décret concernant les périodes de stage sorte le plus rapidement possible. Elle continue l’action pour la prise en compte des autres périodes et sera vigilante sur le contenu du rapport qui doit être publié avant juillet 2015, consacré à la prise en compte des années d’études. Cette bataille contribue à ce que les jeunes d’aujourd’hui puissent espérer une retraite digne de ce nom. Montreuil, le 3 octobre 2014
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