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Plan d'Economie de 3 Milliards - par CGT SEVREY le 26/06/2015 @ 14:14

Budget d’austérité, plan d’économie de trois milliards d’euros entre 2015 et 2017, suppressions d’emploi, contrats de retour à l’équilibre,… Pour les hôpitaux la diète est trop sévère : réactions en chaîne.

Alors que trois syndicats – CGT, FO et Sud – ont été reçus par le ministère après la manifestation du 25 juin contre l’austérité dans les hôpitaux, les réactions contre des économies insoutenables sont de plus en plus vives.

La Coordination nationale infirmière (CNI) s’en prend aux Contrats de Retour à l’Equilibre Financier (CREF) “imposés aux établissements, ils remettent en question des accords locaux relatifs à l’application des 35h et débouchent sur de nouvelles diminutions de postes et fermetures de lits”. Le plan d’économies sur trois ans devrait entraîner 20 000 suppressions d’emplois.

Le CNI dénonce également la création de Groupements Hospitaliers de Territoire (GHT) “qui prévoit le regroupement de centres hospitaliers publics, voir privés, avec un  projet médical commun et la mutualisation des moyens. Ce fonctionnement mettrait en péril la  viabilité des petits établissements de proximité et l’offre de soins proposée à la population”.

Le budget de la Sécu : historiquement bas

Les réactions sont également vives contre la diète imposée par l’Ondam (Objectif national des dépenses d’assurance maladie). Pour les deux années à venir, l’Ondam devrait chuter à 1,75 %, ce qui suppose 2,2 milliards d’euros d’économies supplémentaires d’ici 2017. Or, spontanément, les dépenses de soin augmentent d’environ 4 % par année.

“À 4 %, on se maintient. À 2,5 %, c’est compliqué. Sous les 2 %, c’est impossible, assure Frédéric Pierru, sociologue, à Mediapart. Vous ne pouvez pas faire fonctionner un tel système avec ce chiffre, ça le fait forcément plonger. Quand on fait ça, on fabrique sciemment du déficit pour les hôpitaux.” Et si la Sécurité sociale emprunte à des taux généralement très bas, c’est loin d’être le cas des établissements de santé, qui commencent à trouver que la note est salée, souligne le site d’actualités.

Selon une note que Mediapart s’est procuré, rédigée par le directeur de la Sécurité sociale et adressée début juin aux différents ministres concernés (santé, affaires sociales, finances), la Sécu tire également la sonnette d’alarme. “L’objectif global, fixé à 1,75 %, est historiquement bas.” Plus loin, la note met en garde :  “Ce débasage vient réduire de façon pérenne les recettes des établissements de santé, ce qui tend davantage leur situation financière et augmente le risque que les économies Ondam 2016 se traduisent par une hausse du déficit hospitalier.” 

Le texte ne s’arrête pas là. Des “dépassements” vont avoir lieu en 2015 (typiquement, une épidémie de grippe), qui « constitueront autant d’économies supplémentaires à trouver en 2016″. “Il s’agit donc de durcir significativement la trajectoire », entre 2015 et 2017, « alors même que le respect de ce plan supposait déjà des efforts répétés jamais accomplis par le passé. ” 

Michel Rosenblatt, secrétaire général du syndicat Syncass CFDT, et ancien directeur des hospices civils de Lyon, récuse cette « course sans fin », initiée sous Douste-Blazy, ministre de la santé en 2004 : “On fait la pirouette, en reportant sur l’année suivante les charges, en faisant du one shot et des économies de bouts de chandelle. Ce n’est pas possible de continuer ainsi”.

La FHF contre les fermetures

De son côté, laa Fédération hospitalière de France s’est aussi émue de cette cure d’austérité qui se traduit par des fermetures.

Aujourd’hui, dans une lettre adressée à Marisol Touraine, le patron de la FHF, Frédéric Valletoux s’inquiète d’une multiplication de “décisions de fermeture d’unités de médecine ou de SSR » et demande «solennellement (… ) dans le respect des principes que nous avons partagés dans le cadre du pacte de confiance, de demander aux ARS de stopper les décisions de restructurations en cours et de tout mettre en œuvre pour que des mesures d’appui territorial à ces établissements soient prises”.

Quant à la Cour des Comptes, elle estime, dans son rapport sur la situation et les perspectives des finances publiques rendu le 24 juin, que le non-versement, fin 2014, de 250 millions d’euros de dotations hospitalières “a pu contribuer au creusement du déficit” des hôpitaux publics.

S’agissant des hôpitaux publics et établissements privés participant au service public hospitalier, elle confirme qu’en 2014 leur déficit s’est “accru”. Ce déficit “se serait élevé à 260 millions d’euros, en aggravation de 160 millions par rapport à 2013″, indique-t-elle, reprenant des données annoncées en mai par le directeur général de l’offre de soins (DGOS), Jean Debeaupuis, lors des salons santé autonomie.

Cyrienne Clerc, avec APM, Mediapart, Jim.


AGENT FHP et FORMATION PROMOTIONNELLE - par CGT SEVREY le 23/06/2015 @ 07:49

Un agent de la fonction publique hospitalière en formation promotionnelle à l’IFSI ne doit pas revenir travailler dans les services pendant les vacances !

17 juin 2015 / Fédération Santé Action sociale

De nombreux établissements publics hospitaliers demandent aux agents titulaires qui partent en formation promotionnelle dans les IFSI - Institut de Formation en Soins Infirmiers - de revenir travailler dans les services pendant les vacances.

Il était constaté que chaque établissement fixait, à son gré, le nombre de semaines exigées pour revenir travailler. Certains établissements publics hospitaliers n’exigeaient aucun retour alors que d’autres demandaient jusqu’à 8 semaines aux agents concernés.

La Fédération CGT Santé Action sociale contestaient ces retours dans le services depuis plusieurs années.

La juridiction administrative refuse ces retours dans les services pendant la formation

Un jugement récent du Tribunal Administratif de Poitiers du 11 mars 2015 a indiqué qu’une aide soignante titulaire de la fonction publique hospitalière, en formation promotionnelle et élève infirmière dans un IFSI - Institut de Formation en Soins Infirmiers, ne peut pas être affectée en service de soins dans son établissement pendant les vacances.

Le tribunal administratif s’est fondé sur les dispositions de l’arrêté du 31 juillet 2009 relatif au diplôme d’État d’infirmier, qui prévoient une formation théorique et pratique de 4200 heures et « un travail personnel complémentaire estimé » de 900 heures de préparation du diplôme.

Les obligations de service en formation professionnelle

La formation théorique et pratique du diplôme d’État d’infirmier représente une durée annuelle de 1400 heures et 300 heures de travail personnel complémentaire pour la préparation au diplôme, soit un total de 1700 h par an.

Parallèlement, les obligation de service des agents dans la fonction publique hospitalière sont fixées à 1607 heures par an par le décret 2002-9 du 4 janvier 2002.

Ainsi, un élève-infirmier, bénéficiant d’une formation professionnelle au titre de la promotion interne, accomplit un temps de travail excédant les obligations annuelles de service pendant les 3 années de la formation et n’est donc pas disponible pour une affectation en service de soins durant la période estivale pendant cette même durée.

Commentaires CGT

La Fédération CGT Santé Action Sociale va intervenir à nouveau auprès du ministère pour que tous les agents en formation promotionnelle ne reviennent plus travailler dans les services pendant les vacances, car ce jugement corrobore notre analyse.

Contacter le secteur juridique de la Fédération CGT Santé Action Sociale

Pour plus de renseignements, les agents peuvent contacter le syndicat CGT local de leur établissement.

Les syndicats ou les USD peuvent contacter le service juridique de la Fédération CGT Santé Action sociale par émail à l’adresse suivante : ldaj@sante.cgt.fr


COMMUNIQUE CGT AP-HP - par CGT SEVREY le 22/06/2015 @ 08:46

Communiqué de presse CGT AP-HP...

20 juin 2015

Contrairement aux informations parues dans la presse, l’USAP CGT n’a donné aucun accord ou signature concernant le document intitulé "relevé de décision" proposé par le Directeur Général le 17 juin 2015.

Lors des grèves et manifestation du 21, 28, 2 juin en local le 11 et 18 juin 2015 les personnels mobilisés et déterminés ont exigés : le retrait du plan de réforme du temps de travail du Directeur Général de l’AP-HP Martin HIRSCH, ni négociable ni amendable.

A l’origine du conflit le Directeur Général voulait imposer sa réforme pour le 18 juin : la mobilisation des agents le met en échec. Grâce à cette détermination historique des personnels, le Directeur général a retiré le projet initial du 23 avril, ainsi que celui du 26 mai et le document du 2 juin, marquant ainsi un premier recul. Mais cela ne suffit pas ! Nous continuons d’exiger le retrait de la réforme de la réorganisation du temps de travail sous toutes ses formes telle que contenu dans la feuille de route « intitulé relevé de conclusion », c’est en ce sens qu’est intervenu le 17 juin l’USAP CGT.

Dans ce cadre, l’USAP CGT exige : une communication écrite, claire et non interprétable, affirmant le retrait effectif de sa réforme.

Le directeur général, quant à lui, parle d’expression directe et veut engager les organisations syndicales dans la mise en œuvre de ses objectifs, laissant entendre que les organisations syndicales auront leur mot à dire. L’USAP CGT n’est pas un syndicat d’accompagnement et respecte le mandat donné par le personnel pour le retrait de la réforme.

C’est pour cela que nous exigeons :

  • Le retrait de tous les groupes de travail en local qui œuvrent depuis mars 2015 à la mise en œuvre de cette réforme par le biais de l’encadrement sous le couvert de « discussions locales »
  • Le maintien de tous les jours RTT, des droits et du statut particulier de l’APHP le maintien des trois équipes fixes (jours, après- midi dites de garde et nuit)
  • L’arrêt des actions juridiques contre les agents et le respect du droit de grève le remboursement des jours de grève
  • La stagiairisation des CDD et l’embauche
  • Des moyens budgétaires et des emplois pour une véritable amélioration des conditions de travail

Nous exigeons également le retrait du plan d’économie de 150 M€ à l’APHP et l’arrêt des plans d’austérité imposés aux hôpitaux publics.

Il faut poursuivre la lutte et les mobilisations dans les établissements, résister et être vigilants pendant la période estivale.

Dés le 25 juin 2015, l’USAP CGT appelle les personnels à participer massivement à la journée de grève et de manifestation pour exiger également le retrait de la loi Touraine POUR UNE AUTRE POLITIQUE DE SANTE.


Reglementation Congés Maladie - par CGT SEVREY le 15/06/2015 @ 14:51

Les congés maladie dans la fonction publique hospitalière

3 juin 2015

Un agent de la la fonction publique hospitalière qui tombe malade a droit, sous conditions de fournir les documents et certificats nécessaires à l’administration, à des congés maladie ordinaires, congés longue maladie et congés de longue durée.

Le paiement à taux plein de l’agent dépend du congé maladie ou de l’imputabilité de l’accident ou de la maladie au service.

La déclaration à l’administration

Pour obtenir un congé de maladie ainsi que le renouvellement du congé initialement accordé, l’agent doit adresser à l’administration dont il relève, dans un délai de 48 heures suivant son établissement, un avis d’interruption de travail.

Cet avis indique, d’après les prescriptions d’un médecin, d’un chirurgien-dentiste ou d’une sage-femme, la durée probable de l’incapacité de travail.

En cas d’envoi de l’avis d’interruption de travail au-delà du délai prévu, l’administration informe par courrier le fonctionnaire du retard constaté et de la réduction de la rémunération à laquelle il s’expose en cas de nouvel envoi tardif dans les 24 mois suivant l’établissement du premier arrêt de travail considéré.

En cas de nouvel envoi tardif dans ce délai, le montant de la rémunération afférente à la période écoulée entre la date d’établissement de l’avis d’interruption de travail et la date d’envoi de celui-ci à l’administration est réduit de moitié.

Cette réduction de la rémunération n’est pas appliquée si le fonctionnaire justifie d’une hospitalisation ou, dans un délai de huit jours suivant l’établissement de l’avis d’interruption de travail, de l’impossibilité d’envoyer cet avis en temps utile.

Le congé maladie ordinaire

L’agent, en cas de maladie dûment constatée, qui est dans l’impossibilité d’exercer ses fonctions a droit à des congés de maladie dont la durée totale peut atteindre un an pendant une période de douze mois consécutifs.

L’agent conserve alors l’intégralité de son traitement pendant une durée de trois mois. Puis, son traitement est réduit de moitié pendant les neuf mois suivants.

Le fonctionnaire conserve ses droits à la totalité du supplément familial de traitement et de l’indemnité de résidence.

Toutefois, si la maladie provient de l’une des causes exceptionnelles prévues à l’article L. 27 du code des pensions civiles et militaires de retraite ( blessures ou de maladie contractées ou aggravées soit en service, soit en accomplissant un acte de dévouement dans un intérêt public, soit en exposant ses jours pour sauver la vie d’une ou plusieurs personnes ) ou d’un accident survenu dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions, le fonctionnaire conserve l’intégralité de son traitement jusqu’à ce qu’il soit en état de reprendre son service ou jusqu’à sa mise à la retraite.

Il a droit, en outre, au remboursement des honoraires médicaux et des frais directement entraînés par la maladie ou l’accident.

L’imputation au service de la maladie ou de l’accident est appréciée par la commission de réforme instituée par le régime des pensions des agents des collectivités locales.

Le congé longue maladie

Dans les cas où il est constaté que la maladie met l’intéressé dans l’impossibilité d’exercer ses fonctions, rend nécessaires un traitement et des soins prolongés et présente un caractère invalidant et de gravité confirmée, l’agent a droit à des congés de longue maladie d’une durée maximale de trois ans.

Un arrêté du 14 mars 1986 détermine la liste des maladies donnant droit à l’octroi de congés de longue maladie.

Le fonctionnaire conserve l’intégralité de son traitement pendant un an, puis, le traitement est réduit de moitié pendant les deux années qui suivent.

L’intéressé conserve ses droits à la totalité du supplément familial de traitement et de l’indemnité de résidence.

Le fonctionnaire qui a obtenu un congé de longue maladie ne peut bénéficier d’un autre congé de cette nature s’il n’a pas auparavant repris l’exercice de ses fonctions pendant un an.

Comme dans le cas d’un congé de maladie ordinaire, si la maladie provient de l’une des causes exceptionnelles ou d’un accident survenu dans l’exercice ou à l’occasion de l’exercice de ses fonctions, le fonctionnaire conserve l’intégralité de son traitement jusqu’à ce qu’il soit en état de reprendre son service ou jusqu’à sa mise à la retraite.

Il a droit, en outre, au remboursement des honoraires médicaux et des frais directement entraînés par la maladie ou l’accident.

Le congé longue durée

L’agent a droit à des congés de longue durée, en cas de tuberculose, maladie mentale, affection cancéreuse ou poliomyélite, de trois ans à plein traitement et deux ans à demi-traitement.

Le fonctionnaire conserve ses droits à la totalité du supplément familial de traitement et de l’indemnité de résidence.

Si la maladie ouvrant droit à congé de longue durée a été contractée dans l’exercice des fonctions, les périodes fixées ci-dessus sont respectivement portées à cinq ans et trois ans.

Sauf dans le cas où le fonctionnaire ne peut être placé en congé de longue maladie, le congé ne peut être attribué qu’à l’issue de la période rémunérée à plein traitement d’un congé de longue maladie. Cette période est réputée être une période du congé de longue durée accordé pour la même affection.

Tout congé attribué par la suite pour cette affection est un congé de longue durée.

Sur la demande de l’intéressé, l’établissement a la faculté, après avis du comité médical, de maintenir en congé de longue maladie le fonctionnaire qui peut prétendre à l’octroi d’un congé de longue durée.

Les agents contractuels

Les agents contractuels ont droit à des congés de maladie pendant une période de douze mois consécutifs ou, en cas de service discontinu, au cours d’une période comprenant trois cents jours de services effectifs, dans les limites suivantes :

  • Après quatre mois de services, un mois à plein traitement et un mois à demi-traitement
  • Après deux ans de services, deux mois à plein traitement et deux mois à demi-traitement
  • Après trois ans de services, trois mois à plein traitement et trois mois à demi-traitement.

L’agent contractuel en activité employé de manière continue et comptant au moins 3 années de services effectifs, atteint d’une affection dûment constatée le mettant dans l’impossibilité d’exercer son activité, nécessitant un traitement et des soins prolongés et présentant un caractère invalidant et de gravité confirmée, bénéficie d’un congé de grave maladie pendant une période maximale de trois ans.

Dans cette situation, l’intéressé conserve l’intégralité de son traitement pendant une durée de douze mois. Le traitement est réduit de moitié pendant les vingt-quatre mois suivants.

De plus, le congé pour grave maladie peut être accordé par période de trois à six mois. L’agent qui a épuisé un congé de grave maladie ne peut bénéficier d’un autre congé de cette nature s’il n’a repris auparavant l’exercice de ses fonctions pendant un an.

L’agent contractuel en activité bénéficie en cas d’accident du travail ou de maladie professionnelle d’un congé pendant toute la période d’incapacité de travail jusqu’à la guérison complète, la consolidation de la blessure ou le décès.

L’intéressé a droit au versement de son plein traitement dans les limites suivantes :

  • Pendant un mois dès son entrée en fonctions
  • Pendant deux mois après un an de services
  • Pendant trois mois après trois ans de services.

Le complément de salaire du CGOS

Pour les établissements rattachés au CGOS - Comité de Gestion des Œuvres Sociales, les agents peuvent percevoir un complément de salaire pendant le congé maladie.

En cas de maladie ordinaire, le CGOS peut verser un complément d’un demi traitement pendant 5 mois, entre le 4ème et 8ème mois inclus.

En cas de longue maladie ou de congés de longue durée, le CGOS peut verser un complément d’un demi traitement pendant 5 mois par an.

Contacter le secteur juridique de la Fédération CGT Santé Action Sociale

Un recueil des textes sur la maladie dans la fonction publique hospitalière est disponible dans la rubrique matériel syndical.

Pour plus de renseignements, les agents peuvent contacter leur syndicat CGT local.

Les syndicats ou les USD peuvent contacter le service juridique de la Fédération CGT Santé Action sociale par émail à l’adresse suivante : ldaj@sante.cgt.fr

Références législatives

  • Article 41 de la Loi 86-33 du 9 janvier 1986
  • Arrêté du 14 mars 1986 relatif à la liste des maladies donnant droit à l’octroi de congés de longue maladie
  • Articles 10 et suivants du Décret 91-155 du 6 février 1991 relatif aux dispositions générales applicables aux agents contractuels des établissements de la fonction publique hospitalière
  • Article 31 du Décret 97-487 du 12 mai 1997 fixant les dispositions communes applicables aux agents stagiaires de la fonction publique hospitalière
  • Décret 2014-1133 du 3 octobre 2014 relatif à la procédure de contrôle des arrêts de maladie des fonctionnaires

© Fédération CGT Santé Action Sociale - 2015


TOUS EN GREVE LE 25 JUIN - par CGT SEVREY le 12/06/2015 @ 07:18

Appel des fédérations CGT-FO-SUD des secteurs de la santé et de l’action sociale : tous en grève le 25 juin !

18 mai 2015

Les Fédérations syndicales CGT, FO et SUD se sont réunies le 28 avril. Elles considèrent que,malgré le boycott des médias, la grève interprofessionnelle du 9 avril, réunissant près de 300 000 manifestants, pour le retrait du Pacte de responsabilité, de la loi Macron et du projet de loi Santé, a été un succès et constitue un point d’appui pour renforcer la confiance dans la nécessité de poursuivre la bagarre contre l’austérité.

« Organisons l’initiative nationale de grève et de manifestation pour le retrait du projet de loi santé, l’abandon du plan d’économies de 3 milliards pour les hôpitaux, l’arrêt des attaques contre les conventions collectives et les établissements ! »

Ces dispositions :

  1. aggravent encore la loi HPST en matière de restructuration de l’offre de
  2. soins, de destruction d’effectifs et vont accélérer la privatisation de l’hôpital public, comme les déserts médicaux ;
  3. déboucheront sur de nouveaux Contrats de Retour à l’Équilibre Financier (CREF), qui vont se traduire par des milliers de suppressions de postes, comme c’est le cas à l’AP-HM avec les 1040 suppressions de postes, ou par des attaques contre les jours RTT et les emplois comme par exemple à l’AP-HP.

.../... S’appuyant sur la mobilisation qui s’est exprimée le 9 avril, les Fédérations Syndicales CGT, FO et SUD, prennent leurs responsabilités en appelant à une journée de grève nationale et de manifestations devant les ARS, les préfectures, etc… ainsi qu’à un rassemblement devant le ministère

le 25 juin 2015 pour exiger :

  • Le retrait du pacte de responsabilité et du projet de loi santé ;
  • L’arrêt des fermetures de lits et services ;
  • L’abandon de toutes les mesures d’économie qui asphyxient les établissements et les services ;
  • Le maintien de tous les postes et l’embauche d’effectifs qualifiés en mesure de répondre aux besoins de la population avec des conditions de travail décentes ;
  • La défense des droits statutaires et conventionnels de la BASS ;
  • L’augmentation générale des salaires ;
  • L’arrêt de la casse des métiers du social.

 


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