ATTENTION : site en travaux - site in work
CGT CHS SEVREY

le portail de la section CGT du CHS de Sevrey 71

tel :03 85 92 82 79

cgt.chs@ch-sevrey.fr

                                                      

logo_cgt.jpg

local ouvert lundi et jeudi de 9 à 17 H, le mercredi matin et le vendredi de 14 à 17 H

site de la CGT santé http://www.sante.cgt.fr/

L'ACTUALITE
CGOS L'ACTUALITE climat social l'ACTUALITE le futur de notre hopital revendications actuelles
Cadre législatif
CGT CHS Sevrey Les instances Rapport sur la santé mentale 2013 syndicat
Histoire psychiatrie

           __________________

Pour Ouvrir Cliquez

revue LE PETIT MALIN

Lisez 

LE PETIT MALIN

notre lettre trimestrielle

en cliquant dessus

news.gifetats d'ames

Ces nouvelles sont disponibles en format standard RSS pour publication sur votre site web.
http://cgt..free.fr/data/newsfr.xml



CTE DU 16/06/2014 - par CGT SEVREY le 19/06/2014 @ 15:47

Lors du dernier Comité Technique d'Etablissement du 16/06/2014 qui a duré de 9h30 à 14h15 seuls les points inscrits à l'ordre du jour ont pu etre abordés en séance. Les répresentants du personnel siegeant dans cette instance ont demandé une séance complémentaire pour traiter les questions poser par les syndicats. Cette séance aura lieu le 08/07/2014 à 9h30.

LUTTER CONTRE LE NON-RESPECT DES DROITS - par CGT SEVREY le 13/06/2014 @ 09:04

Source FHF (Federation Hospitaliere de France , regroupe les directeurs d'hôpitaux )

Communiqué de presse

Santé des plus fragiles : lutter contre le non-respect des droits

La FHF et Médecins du Monde unissent leurs forces et attendent des actes politiques concrets.

Le Président de la République a placé la santé au rang des priorités d’un futur pacte de solidarité. La FHF et Médecins du Monde partagent cette ambition et attendent désormais qu’elle se traduise en actes, en particulier pour les plus fragiles.

Alors que la crise économique aggrave chaque jour la situation sociale et sanitaire des populations les plus vulnérables, de trop nombreuses personnes sont éloignées ou exclues de notre système de soins. Le constat est implacable et dénoncer l’urgence de la situation ne suffit plus. Les pouvoirs publics et l’ensemble des acteurs de la santé doivent agir pour construire un système de santé plus solidaire et accessible à tous. La future loi de santé constitue à cet égard un rendez-vous majeur et les personnes précaires ne doivent pas être les oubliées des pouvoirs publics. 

Face à des inégalités sociales et territoriales de santé toujours plus fortes, la FHF et Médecins du Monde ont décidé d’unir leurs forces pour élaborer35 propositions afin d’améliorer concrètement et durablement la prise en charge des personnes vulnérables à l’hôpital et dans le système de santé.

Ces propositions, si elles sont mises en œuvre, permettront de lutter contre le non-respect des droits, de développer des filières d’accès aux soins adaptées à la situation sociale des personnes ou encore de dépasser les barrières culturelles et financières qui se dressent entre les personnes vulnérables et les lieux de soins et de prévention.

Les pouvoirs publics et l’ensemble des acteurs de santé doivent prendre leurs responsabilités et mettre la question de la santé des personnes les plus fragiles au cœur des futures politiques publiques.Nous attendons aujourd’hui des actes forts et concrets pour que les plus vulnérables ne soient pas les grands oubliés de la stratégie nationale de santé.

Lire le rapport de la FHF et Médecins du Monde :http://fichiers.fhf.fr/documents/rapport-FHFMDMbd.pdf 

 

26 JUIN : JOURNEE D'ACTION INTERPROFESSIONNELLE - par CGT SEVREY le 12/06/2014 @ 07:25

Journée d’action interprofessionnelle, Le 26 juin, s’unir pour agir, lutter pour gagner

11 juin 2014

Le Président Hollande entend poursuivre ses réformes désastreuses pour le développement du pays et le vivre ensemble, malgré un désaveu cinglant lors des élections municipales et européennes.

Le gouvernement n’entend pas changer de cap : il s’entête dans ses politiques d’austérité en octroyant toujours plus de cadeaux aux grandes entreprises, sans contrepartie en matière d’emploi, d’augmentation des salaires, de lutte contre la précarité et le chômage, et en réduisant toujours plus les moyens de l’action publique.

Ces choix sont injustes. Ils sont mauvais socialement et inefficaces économiquement.

Aux notions d’attractivité, de compétitivité et de concurrence, répondons par la solidarité, la coopération et le partage des richesses. Rien ne peut, en effet, justifier l’aggravation des inégalités, la dégradation de nos conditions de vie et de travail, la remise en cause de nos droits et garanties collective.

Le pays ne se réformera pas et l’Europe ne se construira pas contre le monde du travail, en exigeant toujours plus de sacrifices des populations et en privilégiant exclusivement la rémunération des grands groupes et de leurs actionnaires. C’est cela qui conduit à la récession, comme le dénoncent 82 organisations syndicales européennes en réclamant un véritable Plan d’investissement en Europe, créateur d’emplois et de richesses.

** Nous pouvons transformer nos situations de travail et construire un avenir de progrès social, mais rien ne se fera sans l’intervention des salarié-e-s.

Ces dernières semaines ont été marquées par des luttes et des mobilisations grandissantes dans le public comme dans le privé, dans la santé, à la SNCF, avec les intermittents du spectacle, les retraités, qui se concrétisent par des succès sur les salaires, sur l’emploi, les conditions de travail… à l’exemple des Fralib, Sam Technologies, Urbaser, Senerval, Monoprix…

Ensemble, il nous faut agir pour un changement de politique économique et sociale, en exigeant :

  • Une augmentation des salaires dans le privé et le public, à commencer par celle du Smic, gelé depuis six ans, et une hausse significative des pensions ;
  • Une politique d’embauches dans les entreprises et les services publics répondant aux besoins et instaurant une réglementation de nature à dissuader les entreprises d’avoir recours aux contrats précaires ;
  • Une remise à plat de l’ensemble des aides publiques aux entreprises en les conditionnant à l’investissement dans l’emploi, la recherche, l’innovation, les salaires et la formation.

Du 22 au 27 juin prochains, la CGT a décidé d’aller à la rencontre des salarié-e-s sur tout le territoire national en appelant à l’action, par la grève et la manifestation, le 26 juin.

Partout, interpellons les directions d’entreprises, les employeurs, afin que nos exigences sociales résonnent dans tout le pays, et notamment les 7 & 8 juillet prochains, lors de la Conférence sociale.

Ensemble, il s’agit de lutter et de s’organiser sur les lieux de travail : le syndicat ça sert à ça ! La CGT est ouverte et disponible à toutes et tous.

*** Que l’on soit salarié-e-s d’une petite ou d’une grosse entreprise, agents titulaires ou non de la Fonction publiques, retraité-e-s ou privé-e-s d’emplois :

  • ensemble, exigeons un changement de cap et faisons avancer nos revendications en nous mobilisant massivement le 26 juin prochain.

PROCEDURE DE CONTROLE DE L'INSUFFISANCE PROFESSIONNELLE... - par CGT SEVREY le 12/06/2014 @ 07:18

Publié le 11 juin 2014
Le décret n° 2014-545 du 26 mai 2014 relatif aux procédures de contrôle de l'insuffisance professionnelle et aux règles de suspension temporaire des médecins, des chirurgiens-dentistes, des sages-femmes, des pharmaciens, des infirmiers, des masseurs-kinésithérapeutes et des pédicures-podologues est paru au Journal officiel n°0123 du 28 mai 2014.

Le présent décret a pour objet la mise en place du contrôle de l'insuffisance professionnelle pour les médecins, chirurgiens-dentistes, sages-femmes, pharmaciens, infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes et pédicures-podologues pouvant aboutir soit à un refus d'inscription à l'ordre professionnels respectifs, soit à une suspension temporaire d'exercice. Par ailleurs, le décret améliore la procédure d'expertise en cas d'infirmité et d'état pathologique lors de l'inscription à l'ordre et en cours d'exercice.

Les dispositions du présent décret entrent en vigueur le lendemain de sa publication et  le 1er janvier 2015 pour les infirmiers. Elles ne sont pas applicables à Mayotte, à Saint-Martin et à Saint-Barthélemy


FUTURE LOI SANTE - par CGT SEVREY le 03/06/2014 @ 07:17

Future loi santé : La CGT exprime de fortes inquiétudes

27 mai 2014

La ministre Marisol TOURAINE a dévoilé lors du salon « Hôpital Expo »et dans des rencontres avec les acteurs du système de santé, les grands contours de la future loi.

COMPTE-RENDU RENDEZ-VOUS MARISOL TOURAINE SUR LOI SANTE

Le but de ce rendez-vous est de présenter la philosophie générale de cette future loi.

  • Calendrier : La Ministre souhaite pouvoir faire des annonces détaillées du contenu de la loi dans moins d’un mois, avec une présentation au conseil des ministres pour la fin de l’été, passage au Parlement début 2015. Mais entre-temps, il y aura les lois de financements, avec le PLFSS 2015, dans lesquels les structures de la future loi santé seront déjà identifiées.
  • La loi se présenterait en 5 chapitres. Ce texte sera une déclinaison du discours de la Ministre sur la stratégie nationale de santé, autour de l’évolution de la société et le vieillissement, l’évolution de la prise en charge des pathologies chroniques, les attentes des professionnels et des patients dans le système de santé.
  • La Ministre fait part des dispositions que devra contenir la future loi pour :
  • Une structuration des soins de premier recours, avec une coopération des paramédicaux avec les médecins, un cadre juridique encadrant les initiatives et pratiques existantes entre professionnels. A travers cette structuration renforcée, les notions de « bloc de missions de service public » et de service territorial de santé apparaitront. Par conséquent, les 12 missions contenues dans la loi HPST seront abandonnées pour que l’ensemble des obligations de service public s’imposent de la même manière pour les hôpitaux et les établissements publics que pour les établissements privés qui y adhéreront.
  • Des objectifs devront être atteints pour l’ambulatoire territoire par territoire. L’ARS devra valider la réalisation de ces objectifs.
  • Répondre aux attentes des français : Ces dispositions intégreront le tiers-payant, la permanence des soins, et des services d’informations au public pour lui permettre de se repérer au sein du territoire dans l’organisation des soins.
  • La gouvernance : elle doit permettre de préciser le rôle de tous les acteurs de santé. Les taux de prise en charge par l’Assurance Maladie devront être inscrits dans le PLFSS tous les ans, et pas seulement l’ONDAM, qui n’est pas parlant pour les français. Des tarifs sociaux pour les bénéficiaires de la CMU seront également intégrés, et des objectifs de luttes contre les inégalités sociales en santé pour certaines catégories de populations (ex. les jeunes) devront être définis. Les négociations conventionnelles avec l’ensemble des professionnels de santé resteront nationales et de la compétence de l’Assurance maladie, mais elles seront encadrées par des objectifs définis par l’Etat (objectifs de la négociation et délais). Cependant, il est envisagé une déclinaison territoriale. Dans le cadre de cette gouvernance, la place des usagers devra être renforcée, pour une meilleure démocratie sanitaire.
  • L’innovation, pour permettre d’aller plus vite sur la recherche et les pratiques avancées des professionnels, notamment en valorisant certains métiers comme les infirmières cliniciennes.
  • L’ordre infirmier : la future loi santé comportera un dispositif qui rendra l’adhésion facultative pour les salariés.

Premières réactions de la CGT :

  • Inquiétude sur le financement du système, avec les politiques d’austérité très contraignantes qui vont paramétrer l’ensemble. D’emblée, la CGT signifie son total désaccord, ces orientations menacent gravement le service public et le service rendu aux usagers. La présentation de la future loi et le futur PLFSS représente encore du « moins » pour le service public de santé, avec les mesures d’économie annoncées de 10 milliards.

Pour la CGT :

  • Cette première présentation n’est que le « squelette » de la future loi, mais le contenu reste flou et indéterminé.
  • Cette future loi correspond à un renforcement de la loi HPST, notamment avec la consolidation du rôle des ARS et l’élargissement de leur pouvoir, et un nouveau recul de la démocratie sanitaire, quid de la représentativité des personnels ? Par contre, une place prépondérante va être accordée aux usagers et aux représentants des professions libérales.
  • Forte inquiétude également sur l’articulation entre l’Etat, l’Assurance Maladie, qui s’apparente à une étatisation de cette dernière. La CGT s’interroge sur la mise en place d’un système territorial et d’un éventuel ORDAM (objectif régional des dépenses de l’Assurance Maladie). La Ministre affirme que le cadre restera national, avec des objectifs qui pourront être négociés régionalement.

La CGT :

  • réaffirme la nécessité de la création d’un service public de santé territorial, avec une place centrale et renforcée de l’Hôpital public. La Ministre rejette cette notion de service public, redit la nécessité d’une collaboration entre l’Hôpital et les soins de ville, via les professionnels libéraux. La Ministre parle d’un service territorial en santé, ce qui nous laisse craindre encore un transfert d’activités du public vers le privé, et la poursuite de la privatisation de notre système de santé. Selon elle, ce sont les ARS qui devront être les garants du système de santé.
  • a dénoncé le recul du dialogue social dans nombre d’établissements. Nous avons porté l’exigence d’une véritable démocratie sanitaire, à tous niveaux (ARS, instances hospitalières), et nous constatons une nouvelle fois la part belle faite au corps médical, associations de malades, et professions libérales.
  • est certes favorable au développement de l’ambulatoire, qui peut répondre à certaines évolutions de pratiques et techniques, mais elle ne peut pas être conçue uniquement en terme de réduction de l’hospitalisation complète, qui est toujours insuffisante en aval et amont.
  • a réaffirmé l’urgence de régler la question de l’adhésion aux ordres professionnels pour toutes les professions salariées. En ne légiférant pas plus rapidement, comme la Ministre l’avait annoncé à maintes reprises, elle laisse une large possibilité aux ordres d’attaquer les professionnels non-adhérents. La CGT a dénoncé une fois encore les agissements inadmissibles des ordres. La CGT a profité de ce rendez-vous pour faire connaître nos exigences sur certains dossiers :
  • La nécessité de consolider le système des heures mutualisées départementales.
  • Le retard pris pour la parution des textes pour les élections CNRACL
  • La question de la pénibilité, plus particulièrement la remise en cause de la catégorie active. La Ministre semblait découvrir ces 3 points …
Après les résultats des deux scrutins électoraux (municipal, européen), la CGT s’offusque de la poursuite de la politique d’austérité menée par le gouvernement. La CGT réclame un réel changement de cap. Ce rendez-vous a renforcé notre certitude de non prise en compte des revendications exprimées par les salariés de notre champ.

DébutPrécédent10 pages precédentes [ 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 ] 10 pages suivantesSuivantFin
LETTRES TYPES
Livret d'accueil salariés

                pour ouvrir, cliquer

 

 

Calendrier

Rédacteurs

Pourquoi ne pas en profiter pour proposer :


Un article
Une nouvelle
Un téléchargement
Un lien
Une photo
Un lien RSS
Un message dans l'agenda


Voir les propositions en attentes

Sondage
location clinique st Remy
 
pour
contre
pas d'avis
Résultats
Visites

   visiteurs

   visiteurs en ligne

^ Haut ^

information..........implication .........action.......information..........implication .........action.......
GuppY - http://www.freeguppy.org/    Site créé avec GuppY v4.5.14 © 2004-2005 - Licence Libre CeCILL   GuppY - http://www.freeguppy.org/