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hospitalisation libre - par CGT SEVREY le 11/06/2013 @ 14:29

L’hospitalisation libre laisse la liberté d’aller et venir

Posted By Rédaction ActuSoins On 7 juin 2013 @ 11 h 03 min In En Bref,Vie professionnelle |

 

Un patient admis à l'hôpital avec son assentiment demeure libre d'aller et de venir, même dans un hôpital psychiatrique, et en conséquence l'hôpital n'est pas astreint à une surveillance assidue.

Crédit : Yannig Van de Wouwer - FlickrL'établissement ne peut donc pas être tenu à une obligation de sécurité aussi forte que pour les patients hospitalisés sous la contrainte.

La Cour de cassation ajoute qu'il ne peut pas être porté atteinte à cette liberté individuelle essentielle de manière contraignante, même par "protocolisation", c'est à dire par l'intégration, dans le traitement, de règles liées à l'organisation des soins par le corps médical.

La famille d'un patient qui s'était suicidé alors qu'il était hospitalisé pour son état dépressif a en conséquence perdu le procès intenté à la clinique.

Si les médecins n'ont pas décelé de tendances suicidaires qui auraient justifié une hospitalisation forcée et une interdiction de sortir, personne ne peut empêcher un patient en hospitalisation libre d'aller s'approvisionner en médicaments à la pharmacie voisine, ont tranché les juges.

Rédaction ActuSoins, avec AFP



ratios promus promouvables - par CGT SEVREY le 10/06/2013 @ 17:24

Ratios promus/promouvables 2013 : information de la DGOS

Publié le 10 juin 2013
Durant la séance du Conseil Supérieur de la FPH qui s'est tenue le jeudi 6 juin 2013, la DGOS a indiqué que la publication de l'arrêté modifiant l'arrêté du 11 octobre 2007 devait intervenir très prochainement.

A noter toutefois, que les taux de promotion relatifs aux grades ci-dessous mentionnés feront l'objet d'un second arrêté dont la publication est prévue au plus tard début juillet 2013 :
- Attaché d'administration principal,
- Adjoint administratif de 1ère classe,
- Aide-soignant de classe supérieure,
- Aide-soignant de classe exceptionnelle,
- Infirmiers de classe supérieure de catégorie BNes. 




"La Pédo-psychiatrie du CH de Sevrey...suite et fin" - par CGT SEVREY le 06/06/2013 @ 15:34

AUTOUR DE CHALON : La pédo-psychiatrie du CH de Sevrey... suite et fin ?

Le Lundi 03 juin 2013 @ 07:30:26


SEVREY (650 x 431).jpg
Comme infos-chalon vous l’annonçait le 19 décembre dernier, le projet d'accueil au sein de la clinique Deliry du service de pédo-psychiatrie avait définitivement pris du plomb dans l'aile. C'est donc un tout nouveau projet avec un investissement initial de l'ordre de 6,5 millions d'euros qui devrait voir le jour... à Saint Rémy, face à l'EHPAD. Explications.


SEVREY (650 x 431).jpg

C'est avec une certaine satisfaction que Zumbo Lorenzo et Fabrice Carpier, représentants syndicaux de la CGT, affichent la bonne nouvelle, sortie du dernier conseil de surveillance du Centre Hospitalier Spécialisé de Sevrey. Rappelez-vous, il aura fallu des années pour que les différents acteurs prennent conscience de la dangerosité financière d'un déménagement de la pédo-psychiatrie au sein de l'ancienne clinique Deliry. Des années durant, ils ont pointé du doigt les incohérences financières et les risques encourus d'une telle aventure. La chose est désormais entendue et ce n'est pas pour déplaire. Le trait est donc désormais tiré sur ce que l'organisation syndicale a longtemps qualifié de "clinique toxique".

Pour autant, on ne baisse pas la vigilance du côté de la CGT et l'organisation syndicale entend bien mener le combat de la nouvelle aventure qui se profile avec un projet tout neuf. Celui d'un investissement sur une surface totale de quelques 5000 m² juste en face du nouvel EHPAD de Saint Rémy. Un projet dont l'investissement de base est de l'ordre de 6,5 millions d'euros et qui permettrait de réunir Les Cèdres Bleus à Lux, Nuance l'hôpital de jour de Chalon et Myosotis le service de soin interne au CHS. Reste que bon nombre d'interrogations reste encore en suspens alors que le dossier avance aujourd'hui sur la question de l'achat du terrain. Même si du côté contribuables, la CGT joue la carte de la satisfaction face au nouveau projet, elle souligne pour autant une série d'interrogations bien légitimes.

Dans le détail, à qui appartiendra la maintenance du site ? s'interroge les deux représentants syndicaux. "Est-ce que les équipes soignantes seront associées aux décisions pesant sur la fonctionnalité des locaux  ? Comment s'organisera le parcours de soin alors que la pédo-psychiatrie regroupe des pathologies très différentes ? Entre les Cèdres Bleus et son cadre unique et la future structure, l'étape devrait être conséquente...  Reste qu'entre le projet initial de la clinique Deliry "qui devait avoisiner à la louche les 15 millions d'euros et celui-ci où le CHS s'oriente vers un titre de propriété, il y a un moment où on peut se réjouir". En attendant.. aucune date n'a été fixée pour la construction, "mais nous ne sommes pas dans l'urgence !".

Laurent Guillaumé



ça se passe en France - par CGT SEVREY le 22/05/2013 @ 15:55

La résistance s’organise : l’Hôtel-Dieu et le Siège vivront ! (75)

15 mai 2013 / Fédération Santé Action sociale

La Direction Générale de l’AP-HP a annoncé par voie de presse le 14 mai 2013 par décision unilatérale de la fermeture du service d’accueil des urgences de l’Hôpital Hôtel-Dieu, pour le 4 novembre 2013.

Cette décision a été annoncée en niant la règlementation statutaire, dans le mépris le plus total des personnels, y compris les médecins puisqu’ils ont été informés de cette fermeture seulement dix minutes avant la tenue de cette Commission Médicale d’Etablissement le 14 mai 2013.

Les représentants de la CME eux-mêmes sont de moins en moins unanimes sur ces projets de restructuration répétés de l’AP-HP. Ils s’inquiètent de la réduction de l’offre de soins publique au cœur même de Paris et de la région Ile-de-France.

C’est une nouvelle étape de violence franchie par l’AP-HP, à l’encontre des personnels – toute catégorie confondue- dans une mobilité forcée par la Direction qui va jusqu’à pousser les agents au départ et à se trouver un poste ailleurs, avec des conséquences pour leur santé physique et mentale !

Plus que jamais le maintien de cet Hôpital, de ses lits d’aval, ainsi que de son Service d’Accueil des Urgences sont essentiels pour l’offre de soins publique de la région d’Ile-de-France et des 9 arrondissements qui l’entourent au cœur de Paris.

Une Assemblée Générale des personnels de l’Hôtel-Dieu, soutenue par le Comité de défense se tiendra le jeudi 16 mai 2013 à 14H dans le Hall d’accueil.

L’USAP-CGT , avec la CGT de l’Hôpital Hôtel-Dieu, mettront tout en œuvre pour assurer le maintien de cet établissement et ses urgences, dans l’intérêt des personnels et usagers.

La CGT appelle avec le comité de soutien et de défense de l’Hôtel-Dieu et du Siège à amplifier la mobilisation contre le démantèlement de cet Hôpital et du Siège administratif de l’AP-HP.

© Fédération CGT Santé Action Sociale - 2013


procédure de licenciement salarié de droit privé - par CGT SEVREY le 22/05/2013 @ 15:47

 

La procédure de licenciement d’un salarié de droit privé pour motif personnel et disciplinaire

22 mai 2013

Un employeur qui envisage de licencier un salarié du secteur privé pour motif personnel ou disciplinaire doit disposer d’une cause réelle et sérieuse et respecter la procédure légale, prévue par le Code du Travail ou une convention collective, en matière de licenciement.

Cette procédure n’est pas applicable en cas de licenciement d’un salarié protégé qui doit se conformer à d’autres exigences.

La procédure de licenciement comprend :

  • la convocation du salarié à un entretien préalable au licenciement
  • le contenu de la lettre de convocation
  • le déroulement de l’entretien - l’assistance du salarié
  • l’envoi de la lettre de licenciement et les motifs invoqués.

A défaut, le salarié peut contester son licenciement de le Conseil de Prud’homme.

La convocation du salarié à l’entretien préalable

L’employeur doit convoquer le salarié à un entretien préalable au licenciement par l’envoi d’une lettre recommandée avec accusé de réception ou par remise en main propre contre décharge.

Le contenu de la lettre de convocation à l’entretien préalable

Dans la lettre de convocation à l’entretien préalable, l’employeur doit informer le salarié de :

  • l’objet de l’entretien préalable et indiquer qu’il envisage de licencier le salarié
  • la date et le lieu de l’entretien avec l’heure précise. L’entretien ne peut pas avoir lieu moins de 5 jours ouvrables après réception de la convocation ou de la remise en main propre
  • la possibilité pour le salarié de se faire assister durant l’entretien par une personne de son choix appartenant au personnel de l’entreprise ou, s’il n’y a pas de représentants du personnel dans l’entreprise, par un conseiller du salarié
  • les coordonnées de l’inspection du travail ou de la mairie pour que le salarié s’informe de la liste des conseillers du salarié de son département.

Le déroulement de l’entretien préalable - l’assistance du salarié

L’entretien préalable avec l’employeur ne peut pas avoir lieu moins de 5 jours ouvrables après réception de la convocation ou de la remise en main propre.

En cas de procédure disciplinaire, l’entretien doit avoir lieu dans un délai de 2 mois après que l’employeur ait pris connaissance des faits reprochés au salarié.

Le salarié qui souhaite se faire assister par un conseiller du salarié doit lui communiquer la date, l’heure et le lieu de l’entretien.

Il doit également informer l’employeur de sa démarche (par écrit ou par oral). Lors de l’entretien, l’employeur doit exposer les motifs reprochés et recueillir les explications du salarié.

La présence du salarié n’est pas obligatoire et son absence à l’entretien ne peut être considérée comme une faute. L’absence du salarié ne remet pas en cause la légalité de la procédure de licenciement.

La lettre de licenciement de l’employeur

L’employeur doit notifier le licenciement du salarié par une lettre recommandée avec accusé de réception et il ne peut envoyer son courrier avant un délai d’au moins 2 jours ouvrables après la date de l’entretien préalable.

Il n’existe pas de délai maximal pour l’envoi de la lettre de licenciement, sauf en cas de procédure pour motif disciplinaire ou l’employeur dispose d’un délai d’un mois maximum après la date de l’entretien préalable.

L’employeur doit indiquer clairement le ou les motifs qui l’amènent à décider du licenciement du salarié.

Il doit s’agir d’une faute réelle et sérieuse, c’est à dire d’une faute qui a une véritable existence et qui est suffisamment sérieuse pour être prise en considération.

L’écrit de l’employeur fixe définitivement le litige, ainsi aucun autre motif ne pourra être évoqué ultérieurement. En cas d’absence de motifs, ou lorsque le salarié peut démontrer que la faute qui lui est reprochée n’est pas réelle ou qu’elle n’est pas sérieuse, celui-ci peut contester son licenciement devant le Conseil de Prud’hommes.

L’employeur doit aussi indiquer dans la lettre de licenciement les droits du salarié en matière de droit individuel à la formation – DIF, et d’action de formation.

Le préavis de licenciement

Sauf dispositions plus favorables pour le salarié et dans les cas de faute grave ou lourde, l’employeur doit respecter les délais de préavis de licenciement fixés à :

  • un mois, si l’ancienneté du salarié est comprise entre 6 mois et 2 ans
  • deux mois, pour une ancienneté de 2 années ou plus.

La faute grave et la faute lourde

Lorsque l’employeur choisit de qualifier la faute de "grave", il accompagne le plus souvent sa décision en ne maintenant pas le salarié dans son entreprise pendant la durée du préavis.

Le salarié perd le bénéfice de ses indemnités de préavis et de ses indemnités légales de licenciement, mais il garde le bénéfice de ses allocations de chômage et de ses congés payés.

Lorsque l’employeur choisit de qualifier la faute de "lourde", il est convaincu que le salarié a agit avec l’intention de lui nuire ou de nuire à l’entreprise ; dans ce cas le salarié perd le bénéfice de toutes ses indemnités : préavis, indemnités légales de licenciement mais aussi le paiement des congés payés acquis ; il ne conserve que son droit à percevoir des allocations de chômage.

NB : Ce n’est pas parce que l’employeur a rédigé la lettre de licenciement en choisissant d’invoquer une faute grave ou lourde qu’il l’a fait à bon droit. Le salarié peut aussi dans ces cas saisir le Conseil de Prud’hommes pour contester la décision de l’employeur.

Les indemnités légales de licenciement

Sauf dispositions plus favorables au salarié, le montant des indemnités légales de licenciement ne peut pas être inférieur à :

  • 1/5 ème de mois de salaire par année d’ancienneté jusqu’à 10 ans d’ancienneté plus
  • 2/15 ème de mois de salaire par année au-delà de 10 ans d’ancienneté

Références Législatives :

  • Articles L1232-1 à L1232-6 du Code du Travail
  • Articles R1232-1 à R1232-3 du Code du Travail
  • Article L6323-19 du Code du Travail

© Fédération CGT Santé Action Sociale - 2013


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