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A Sevrey le paradoxe des 35 heures - par ALAIN le 17/07/2012 @ 14:02

Réponse à Thierry :

Evidemment, il parait paradoxal que notre accord local RTT soit remis en cause dans une période où un nouveau président de gauche, un nouveau gouvernement de gauche, une Assemblée nationale et un Sénat de gauche soient aux commandes de notre pays.

D'autant qu'effectivement, la CGT a appelé à battre Nicolas Sarkosy "pour contribuer à créer un contexte plus favorable au dialogue social, aux revendications et au progrès social".

Force est de constater qu'au CHS de Sevrey, "rien n'a changé, bien au contraire !".

Que les choses soient bien claires, nous ne nourrissons pas d'attentisme béat ! Pour la CGT , l'intervention syndicale, LA MOBILISATION DES SALARIES, un dialogue social renouvelé et sincère sont des conditions indispensables.

Notre adresse aux politiques majoritaires de gauche est la suivante :

L'immense majorité du personnel du CHS de Sevrey, déjà exténuée, après 5 années d'efforts pour rétablir les comptes du CHS, attend de pied ferme que le DETRICOTAGE des 35 Heures, amorcé par l'ancienne majorité de droite, cesse immédiatement avec les élus de gauche qui les ont mis eux-même en place. Le contraire serait une contradiction incompréhensible, voire une trahison lourde de conséquences.mad


TFN ...........Bientôt pire - par cgt le 17/07/2012 @ 11:17

Nouvelles incertitudes sur les conditions de travail :

On vient d'apprendre qu'un nouvel appel d'offres sera fait sur le CHS de Sevrey au sujet du ménage et du nettoyage. TFN (socièté actuelle de nettoyage sur Sevrey)  a dénoncé le marché conclu récemment, certainement pas assez juteux !...

Il ne faut pas perdre en mémoire qu'au dernier changement de prestataire les employés se sont fortement mobilisés pour défendre une partie de leurs acquis.

La CGT espère que la Direction, dans sa politique d'économie, n'oubliera pas que derrière tout celà, il y a des hommes, des femmes, des familles et que se sont toujours les personnels qui paient l'addition.

De plus la qualité hygiène et propreté risque d'être remise en cause sur notre établissement.

La CGT, plutôt que de faire un constat de cette situation, restera vigilante sur ce dossier.


vous avez dit COCUS - par thierry le 16/07/2012 @ 09:44

Je m'adresse à la CGT. La CGT à appeler à battre Sarkosy au niveau national comme au niveau local. Très bien ! Je sais que les militants CGT se sont impliqués pour gagner 5 députés sur 5 en Saône-et-Loire. Je suis bien plaçé, car j'habite en Bresse et mes parents sont de Paray-Le -Monial. C'était pas évident. Aujourd'hui que La Gauche détient tous les pouvoirs, c'est aujourd'hui que les 35H sont attaquées sur le CHS de Sevrey, par la direction! Cette situation ne vous étonne t'elle pas?...Cette bizarrerie  est invraisemblable. Ne semble t'il pas que M.Fillon avait raison?...Les "cocus" ne sont-ils pas les syndicats, et en particulier la CGT. Merci de me répondre.

M. FILLON , les cocus vous saluent bien - par bertignac le 10/07/2012 @ 12:27

Il y a décidément beaucoup de morgue, de mépris parmi les caciques de l’UMP. A l’évidence, s’ils avaient pu rester aux affaires et faire payer très cher à la CGT son appel à en finir avec la politique de Nicolas Sarkozy, ils n’auraient pas hésité. Mauvais perdant et volontiers amnésique, François Fillon s’est montré très insultant la semaine passée en prédisant que les syndicats allaient être « les premiers cocus de la gauche ». Dans la bouche de celui qui a mis en œuvre avec constance et sans faiblir la politique la plus antisociale de ces dernières années, cette prédiction vaut son pesant de fiel. Que les choses soient bien claires. Pour ce qui est de la CGT et de son Ugict, la question ne saurait se poser en ces termes.

 Nous ne nourrissons aucun attentisme béat.

Face au patronat qui tente d’instaurer toujours plus d’austérité, le CCN de la CGT appelle les salariés de toutes les professions, des territoires, entreprises et lieux de travail à faire entendre leurs revendications pour un véritable changement vers le progrès social et à décider des formes d’action pour les faire aboutir. La CGT appelle ses organisations à être partout à l’offensive dans la création d’une dynamique unitaire pour gagner une forte mobilisation interprofessionnelle, notamment dans le cadre de la conférence sociale annoncée par le gouvernement. L’attentisme n’est pas de mise, d’autant que nous sommes confrontés à une série de plans sociaux dont on savait qu’ils étaient sous le coude avant la présidentielle. Le gouvernement en a recensé 36 urgents et la CGT a évalué quelque 45 000 emplois directement menacés.

Dans ces conditions, il serait illusoire de penser que la seule intervention d’un ministre, si bien disposé soit-il, pourrait changer la donne. L’intervention syndicale, la mobilisation des salariés, un dialogue social renouvelé et sincère sont des conditions indispensables.


UNE NOUVELLE DONNE - par cgt le 11/06/2012 @ 11:39

La CGT, qui avait appelé à battre Nicolas Sarkozy pour « contribuer à créer un contexte plus favorable aux revendications et au progrès social », ne peut que se réjouir du résultat de l’élection présidentielle. Elle avait précisé dans sa déclaration après le premier tour que ces revendications « nécessiteront toujours des mobilisations syndicales ». Gageons en effet que le contexte est en train de changer. En train, car il reste une formalité de taille : les élections législatives. Car il faudra bien demain que les changements attendus, trouvent leur traduction dans la loi.Les questions sociales auxquelles François Hollande va devoir s’atteler sont lourdes. Et il est attendu, car il a formulé des engagements sur le fond comme sur la forme de sa gouvernance. Du point de vue du dialogue social, on pourra difficilement faire pire que ces cinq dernières années. François Hollande a donné un premier rendez-vous aux syndicats et au patronat à la mi-juillet pour une conférence nationale pour la croissance et l'emploi. Il s'agira de discuter des « priorités » du quinquennat (emploi, lutte contre la précarité, égalité salariale, protection sociale).
Il prévoit que tout texte de loi concernant les partenaires sociaux doit être précédé d'une
concertationavec eux. Il entend modifier la Constitutionpour qu'elle reconnaisse et garantisse cette obligation. Il est aussi attendu sur la négociation d'une nouvelle réforme des retraites, remettant en cause celle de 2010, notamment quant à l’âge de départ en retraite. D'autres aspects (âge de départ, pénibilité, financement ...) seront négociés avec les syndicats à partir de l'été 2012. Sur le front des salaires et du pouvoir d’achat, il devra aussi mettre fin à cinq années durant lesquelles aucun coup de pouce n’a été donné au SMIC ce qui a participé à un tassement général des grilles de salaires et qui contribue largement à l’atonie de la consommation des ménages.
Quant aux
services publics, là aussi, les attentes sont fortes après ces années de cure d’austérité et de révision générale des politiques publiques. Le nouveau président a annoncé la fin de la règle du non remplacement d'un fonctionnaire sur deux partants à la retraite et ouvrira des négociations sur les salaires.
Sur chacun de ces dossiers, la CGT entend continuer plus que jamais à jouer son rôle. La nouvelle donne politique n’enlève rien au besoin d’un syndicalisme fort.
Les cartes sont rebattues, mais le Medef est toujours là, les marchés financiers exercent toujours leur chantage et comptent bien nous faire payer leur crise.

cry


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