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CET dans la Fonction Publique Hospitaliére
- par CGT SEVREY
le 13/03/2015 @ 18:00 Compte épargne-temps (CET) dans la fonction publique hospitalière (FPH)Mise à jour le 22.09.2014 - Direction de l'information légale et administrative (Premier ministre) PrincipeLe compte épargne-temps (CET) permet d'accumuler des jours de congés rémunérés sur plusieurs années pour en disposer dans un délai supplémentaire. Il est ouvert à la demande de l'agent qui est informé tous les ans des droits épargnés et consommés. Bénéficiaires Si vous êtes fonctionnaire titulaire ou contractuel employé depuis au moins 1 an de manière continue dans la fonction publique hospitalière (FPH) vous pouvez bénéficier d'un CET. En tant que fonctionnaire stagiaire, vous ne pouvez pas ouvrir de CET. Toutefois, si vous avez épargné des jours de congés sur un CET en qualité de fonctionnaire titulaire ou de contractuel avant de passer le concours, vous ne pouvez ni les utiliser ni en accumuler de nouveaux pendant la période de stage. Attention : les personnels médicaux, pharmaceutiques et odontologiques disposent d'un régime particulier. Alimentation du CET Le CET peut être alimenté dans la limite de 60 jours par : des jours de congé annuel. Vous devez toutefois prendre au moins 20 jours de congé par an. Les jours de congé bonifié ne peuvent pas être épargnés. des heures ou des jours de réduction du temps de travail (RTT), des heures supplémentaires si elles n'ont pas fait l'objet d'une compensation horaire ou d'une indemnisation.
Lorsque le CET atteint 20 jours, vous ne pouvez plus épargner ensuite que 10 jours au maximum par an. Utilisation du CET Utilisation obligatoire sous forme de congés des 20 premiers jours Lorsque le nombre de jours en fin d'année sur le CET est inférieur ou égal à 20, vous ne pouvez les utiliser que sous forme de congés. Utilisation au choix de l'agent à partir du 21è jour Lorsque le CET compte plus de 20 jours en fin d'année, les jours au-dessus de 20 peuvent être, en tout ou partie, à votre demande : Les jours maintenus sur le CET ne peuvent être utilisés que sous forme de congés. Vous devez formuler votre choix tous les ans avant le 1er avril. Il est irrévocable. En l'absence de toute demande, les jours sont d'office : Conditions d'indemnisation Indemnisation des jours épargnés Classification | Paiement forfaitaire des jours |
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Catégorie C | 65 € | Catégorie B | 80 € | Catégorie A | 125 € |
Conditions de prise en compte au titre de la retraite additionnelle Les jours épargnés donnent lieu au versement d'indemnités sur la base desquelles le fonctionnaire cotise au RAFP. Demande de congés Vous pouvez bénéficier de vos jours de congés épargnés sous réserve des nécessités du service. Tout refus doit être motivé. Vous pouvez former un recours devant votre autorité hiérarchique, qui statue après consultation de la CAP . Si vous en faites la demande, vous bénéficiez automatiquement des jours de congés épargnés à la fin d'un congé de maternité, d'adoption, de paternité ou de solidarité familiale. Changement d'employeur En cas de changement d’employeur, vous conservez, dans certains cas, les jours de congés épargnés sur son CET. Conditions lors du changement d'employeur pour conserver des jours épargnés Cas de changement d’employeur pour la conservation des jours épargnés | Conditions d’utilisation des droits |
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Changement d'établissement | Droits ouverts et gestion du CET par le nouvel établissement | Détachement dans la FPH | Droits ouverts et gestion du CET par le nouvel établissement | Détachement hors FPH | Utilisation des droits sur autorisation de l'administration d'origine et de l'administration d’accueil selon les règles régissant le CET dans l’administration d'accueil | Placement en recherche d'affectation auprès du centre national de gestion des praticiens hospitaliers et des personnels de direction de la FPH | Droits ouverts et gestion du CET par le centre national de gestion | Mise à disposition | Utilisation des droits sur autorisation de l'administration d'origine et de l'administration d'accueil selon les règles régissant le CET l'administration d'origine | Intégration directe dans un corps de la FPH | Utilisation des droits selon les règles applicables dans la FPH | Intégration directe hors FPH | Utilisation des droits sur autorisation de la nouvelle administration | Disponibilité, Congé parental, Congé non rémunéré pour élever 1 enfant de moins de 8 ans, pour donner des soins à un proche ou pour suivre son conjoint, Congé non rémunéré pour convenances personnelles, Congé non rémunéré pour créer ou reprendre une entreprise.
| Indemnisation des jours épargnés ou prise en compte au titre du RAFP, s'agissant des fonctionnaires, sur autorisation de l'administration d'origine |
Selon votre situation (détachement, congé non rémunéré, etc.) et si vous quittez définitivement la FPH, le CET doit être soldé avant la date de cessation d'activités. Dans ce cas, l'administration ne peut pas s'opposer à votre demande de congés. Indemnisation en cas de décès En cas de décès, vos ayants-droits bénéficient d'une indemnisation des jours épargnés non utilisés.
REPORT AUTOMATIQUE DES CONGES ANNUELS..
- par CGT SEVREY
le 13/03/2015 @ 14:58 Report automatique des congés annuels : personnels contractuels, instruction du 11 février 2015Publié le 10 mars 2015 Publication sur le site www.circulaires.gouv.fr de l’instruction N° DGOS/RH3/RH4/DGCS/4B/2015/41 du 11 février 2015 précisant le dispositif du report des congés annuels des agents absents du fait d’un congé pour raisons de santé, d’un congé de maternité, d’un congé d’adoption, d’un congé de paternité ou d’un congé parental. Faisant suite à la circulaire N° 2013-121 du 20 mars 2013 et à l’instruction n° 2013/356 du 1er octobre 2013 relatives au dispositif de report automatique des congés annuels non pris par les agents absents pour raison de santé, congé de maternité, d’adoption, de paternité et congé parental, cette instruction vient préciser que ce dispositif est applicable aux agents contractuels et ce, depuis la mise en œuvre du dispositif en 2013. En outre, l’instruction rappelle qu’un agent, qu’il soit contractuel ou titulaire, quittant définitivement son établissement, doit bénéficier de ses congés avant la date de cessation des fonctions, car un congé non pris ne donne pas lieu à indemnité compensatrice. Toutefois, pour les personnels contractuels, une indemnité compensatrice sera versée si l’impossibilité de bénéficier dudit congé avant la fin du contrat, relève du fait de l’administration.
COMITE DE SUIVI LOI ANT AVORTE....
- par CGT SEVREY
le 10/03/2015 @ 07:11  Comité de suivi avorté pour les non titulaires de la Fonction Publique Hospitalière !6 mars 2015 Mercredi 4 mars 2015, un comité de suivi de la loi Accord non titulaires (ANT) dans la Fonction Publique Hospitalière était de nouveau convoqué. A la réception de la convocation, n’était mentionné que l’intitulé de la réunion, sans point particulier à l’ordre du jour, ni document. Déjà lors du précédent comité de suivi du 7 janvier 2015, les participants (CGT, CFDT, FO, UNSA, CFTC, CGC-CFE) avaient fait part de l’inertie des directions d’établissements à appliquer la loi. Un courrier demandant un acte fort d’engagement de la Ministre pour faire appliquer ce dispositif avait été envoyé à l’issue de cette réunion. A ce jour, ce courrier est resté lettre morte. Par conséquent, les organisations présentes ce jour (CGT, CFDT, FO, UNSA, CFTC) ont décidé de surseoir à la tenue de ce comité de suivi ANT Fonction publique hospitalière, qui se déroulait en amont de celui de l’Inter-Fonction publique prévu le 16 mars. En tant que représentants des personnels, engagés par la signature de ce protocole qui est censé répondre aux attentes de nombreux agents contractuels qui exercent au quotidien dans nos établissements et pour certains, depuis plusieurs années, nous n’acceptons pas le silence de la Ministre. Au vu des différentes mesures annoncées par les médias pour les hôpitaux (3 milliards d’économie), nos inquiétudes répétées à maintes reprises, risquent de se confirmer en conduisant à maintenir, voire développer, le nombre d’emplois précaires dans nos établissements. Paris, le 06 mars 2015
NOUVELLE CURE D'AUSTERITE...
- par CGT SEVREY
le 10/03/2015 @ 07:07  UNE NOUVELLE CURE D’AUSTÉRITÉ AU MENU POUR L’HÔPITAL PUBLIC !9 mars 2015 Ces dernières semaines ont été marquées par des drames dans plusieurs hôpitaux ayant couté la vie à des malades : un agent hospitalier a été grièvement blessé, un autre s’est donné la mort, quand les services d’urgences des hôpitaux ont eu les plus grandes difficultés à prendre en charge les malades souffrant de…la Grippe. C’est dans ce lourd contexte, après avoir fait adopter une baisse historique des dépenses de l’assurance maladie pour 2015 que, pour toute réponse, la Ministre de la Santé M. TOURAINE annonce un plan d’économies des dépenses Hospitalière de 3 milliards d’euros d’ici à 2017. Réduire la masse salariale des établissements de 860 millions d′euros(soit l’équivalent de 22 000 emplois, 2 % des effectifs de la fonction publique hospitalière) Il s’agit donc de poursuivre la compression des emplois, des qualifications, des salaires, les moyens dévolus à la Formation Professionnelle… et de s’attaquer aux droits des salariés de l’hôpital. Ces mesures viennent ainsi renforcer les plans d’économies déjà engagés qui, au motif de réduction des déficits, vont détruire l’ensemble du système hospitalier public et la Sécurité Sociale, au profit des grands groupes financiers privés. Ceux-là même à qui le gouvernement a servi le pacte de « responsabilité », le CICE et plus récemment la loi Macron en utilisant l’article 49.3 ! Aujourd’hui, les suppressions de lits, de places, d’unités et/ou de services de soins, le manque de personnels formés et qualifiés ne permettent plus aux hôpitaux de répondre aux besoins de la population, ni d’assurer leurs missions de service public. Les luttes et leurs convergences se développent à l’hôpital Les personnels sont épuisés, toujours plus nombreux à exprimer leur colère compte tenu de leurs conditions de travail déplorables et des situations dans lesquelles ils doivent prendre en charge et prodiguer des soins aux malades. Par leurs actions de plus en plus nombreuses (comme aux CH du Mans, du Vinatier, de Tours, de Caen, ou d’Avignon et bien d’autres encore… ) et comme ce fut le cas des médecins urgentistes, ils réaffirment que ce n’est pas en réduisant toujours plus les moyens de l’hôpital que les établissements fonctionnent mieux, que les usagers sont mieux pris en charge. Pour renforcer l’Hôpital Public et ses missionsAvec elles et eux, la Fédération CGT de la Santé et l’Action Sociale CGT réaffirme son opposition à ces mesures d’austérité et son exigence que des moyens supplémentaires soient débloqués pour l’hôpital public et la Sécurité Sociale. La CGT porte l’exigence de mesures fortes en faveur de l’Hôpital, comme l’effacement des dettes liées aux « emprunts toxiques » et la recapitalisation des hôpitaux pour diminuer leurs charges financières liées aux emprunts (qui s’élèvent à plus de 30 milliards d’euros). La Fédération CGT de la Santé et l’Action Sociale exige l’arrêt du pacte d’austérité, l’abrogation de la loi Macron, le retrait du projet de Loi santé de la Ministre M. TOURAINE, et un ONDAM construit à partir des besoins des populations. La CGT appelle tous les salariés de la santé et de l’action sociale à s’organiser dès maintenant, pour renforcer les convergences de leurs luttes et construire ensemble une mobilisation exceptionnelle le 9 avril 2015, pour l’emploi, les salaires, pour un grand service public de Santé et d’Action Sociale, pour une sécurité sociale réellement solidaire. Montreuil, Le 9 mars 2015.
LES FAMEUX EMPRUNTS TOXIQUES
- par CGT SEVREY
le 03/03/2015 @ 08:21 Service public de santé Les hôpitaux étouffés par les emprunts « toxiques »lundi 2 mars 2015 , par Philippe Gelinaud L’État vient de débloquer 300 millions d’euros pour que les hôpitaux puissent continuer d’honorer les emprunts « toxiques » qui ont fait exploser leur endettement. La fédération CGT Santé et Action sociale dénonce les conséquences de cet endettement sur le fonctionnement des services hospitaliers. Elle rappelle que ces remboursements s’appuient parfois sur les banques, et d’autres fois directement sur le budget de la sécurité sociale : « L’État paye les banques avec nos cotisations sociales. » Dans un communiqué du 26 février 2015, le syndicat explique que ces 300 millions d’euros débloqués par l’État ne sont pas les premiers – ils représentent une nouvelle tranche venant s’ajouter à d’autres – et que cela ne sera pas suffisant pour désendetter les hôpitaux. La fédération hospitalière de France (FHF) estimerait ainsi à plus de 3 milliards d’euros la somme nécessaire pour libérer les hôpitaux de ces dettes qui les étouffent. Les conséquences de cet endettement et du coût exorbitant des intérêts à rembourser, ce sont des hôpitaux réduits à voter des budgets en déséquilibre, la fermeture de services, la diminution du nombre de lits ou l’explosion du recours aux emplois précaires et à une externalisation de services tournée vers le secteur privé. La CGT santé s’inquiète de ces choix politiques qui ont sauvé les banques de la faillite, mais laissent le service public de santé crouler sous le poids d’un endettement qui absorbe des ressources financières considérables : « Continuer sur cette même ligne politique, c’est casser notre service public de santé et empêcher les usagers d’accéder à des soins de qualité. » Le syndicat demande l’effacement des emprunts toxiques et la mise en place d’un financement à base d’emprunts qui auraient les mêmes taux que ceux pratiqués par la banque centrale européenne (BCE). Prêts structurés et emprunts « toxiques » D’où viennent ces emprunts dits « toxiques » ? Il s’agit de prêts structurés accordés par les banques, c’est-à-dire de prêts composés de deux périodes de remboursement : durant la première période, le taux d’intérêt est fixe ; vient ensuite une période de remboursement à taux variable, ce taux pouvant être indexé sur le cours de certaines matières premières ou de certaines devises. C’est ainsi que les variations du taux de change entre l’euro et le franc suisse, en faveur de ce dernier, ont fait exploser l’endettement des nombreuses collectivités locales (départements, villes, établissements hospitaliers et autres, etc.) qui avaient souscrit de tels emprunts.
 - Cliquer l’image ci-dessus pour voir le communiqué de la CGT santé du 26 février 2015 sur les emprunts « toxiques ».
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