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LE DIALOGUE SOCIAL DU GOUVERNEMENT
- par CGT SEVREY
le 27/02/2015 @ 11:16 Dialogue social Le gouvernement doit revoir sa copie et choisir les droits des salariés ! jeudi 26 février 2015  - Texte en pdf
Les annonces du Premier ministre concernant la « modernisation du dialogue social » ont de quoi satisfaire le président du Medef, mais inquiéter les syndicats de salariés. En effet, les options présentées par Manuel Valls, notamment le regroupement des instances représentatives du personnel et le recul sur les prérogatives des CHSCT, reprennent une bonne part des exigences patronales qui ont déjà fait échouer la négociation. La CGT estime qu’il faut développer une plus grande démocratie sociale dans les entreprises qui permette l’expression et l’intervention des salariés sur leur travail. Ces options annoncées prévoient tout le contraire. Le projet gouvernemental ne doit pas valider une discussion qui a échoué, mais prendre enfin en compte les propositions des organisations syndicales. Pour sa part, la CGT a développé de nombreuses propositions visant à améliorer la qualité et l’efficacité du dialogue social dans les petites et dans les grandes entreprises. Parmi celles-ci : - permettre la représentation effective des salariés de toutes les entreprises de petite taille. En outre, il faut d’urgence des droits réels pour les salariés des TPE ;
- développer partout les droits d’expression des salariés et le droit syndical ;
- maintenir les institutions représentatives et leurs prérogatives ;
- renforcer le poids et la légitimité des CHSCT, instaurer des CHSCT de site, surtout à un moment où la santé au travail se dégrade dans de nombreuses entreprises ;
- mettre en place des comités inter-entreprises, notamment pour mieux prendre en compte les salariés de la sous-traitance.
La CGT continuera à porter ses propositions en s’appuyant sur la mobilisation des salariés durant les prochaines semaines, notamment le 9 avril. Montreuil, le 26 février 2015
LE CUMUL D'EMPLOI DES AGENTS DE LA FPH
- par CGT SEVREY
le 27/02/2015 @ 11:13  Le cumul d’emploi des agents dans la fonction publique hospitalière 19 février 2015 De nombreux agents de la fonction publique hospitalière souhaitent exercer un autre emploi dans le secteur privé qui se cumule avec leur emploi public. Toutefois, sauf dérogations et autorisation de l’employeur public, le cumul d’emploi est interdit aux agents publics qui encourent, pour ce fait, une sanction disciplinaire pouvant aller jusqu’à la révocation. D’autre part, les agents sont tenus d’une obligation de loyauté envers leur employeur public et doivent les informer de tous les changements intervenants dans leur vie professionnelle. Le principe du non cumul d’emploi L’article 25 de la Loi 83-634 du 13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires, y compris dans la fonction publique hospitalière, indique que : « Les fonctionnaires et agents non titulaires de droit public consacrent l’intégralité de leur activité professionnelle aux tâches qui leur sont confiées. Ils ne peuvent exercer à titre professionnel une activité privée lucrative de quelque nature que ce soit. ». Toutefois, il existe des dérogations pour les fonctionnaires, les agents non titulaires de droit public qui peuvent être autorisés à cumuler une activité accessoire à leur activité principale, sous réserve que cette activité ne porte pas atteinte au fonctionnement normal, à l’indépendance ou à la neutralité du service. Les cumuls d’activités autorisées Les activités autorisées dans un cumul, après information de l’employeur, sont : - la production des œuvres de l’esprit ( création musicale, littérature, peinture, photographie, danse,...)
- l’exercice d’une activité bénévole pour des personnes publiques ou privées sans but lucratif
- la détention de parts sociales en percevant les bénéfices qui s’y attachent
- la gestion du patrimoine personnel ou familial
De plus, des dérogations de cumul existent : - en cas de création ou reprise d’une entreprise : pendant une durée maximale de deux ans à compter de cette création ou reprise et peut être prolongée pour une durée maximale d’un an. La déclaration de l’agent doit être soumis pour avis à la commission de déontologie
- pour les agents recrutés par concours ou contractuels : qui détenait un poste de direction d’une société ou association à but lucratif. Ce cumul est possible pendant un an renouvelable une fois, et après avis de la commission de déontologie
Les activités susceptibles d’être autorisées après accord de l’employeur Les activités accessoires susceptibles d’être autorisées, après accord de l’employeur public, sont : 1) librement mais sans le statut de l’auto-entrepreneur : activités agricoles dans une exploitation agricole non constituée en société ou constituée sous forme de société civile ou commerciale, vendanges, activité de conjoint collaborateur dans une entreprise artisanale, commerciale ou libérale, aide à domicile à un ascendant, un descendant, à l’époux, au partenaire pacsé ou concubin, activité d’intérêt général auprès d’une personne publique ou privée à but non lucratif, mission d’intérêt public de coopération internationale ou auprès d’organismes internationaux d’intérêt général ou auprès d’un État étranger 2) librement ou sous le statut d’auto-entrepreneur : expertise et consultation, enseignement et formation, activité à caractère sportif ou culturel ( y compris encadrement et animation dans les domaines sportif, culturel, ou de l’éducation populaire ), travaux de faible importance réalisés chez des particuliers. 3) uniquement sous le statut d’auto-entrepreneur : les services à la personne et la vente de biens fabriqués personnellement par l’agent. Attention ! Le cumul d’une de ces activités exercées à titre accessoire avec une activité exercée à titre principal est subordonné à la délivrance d’une autorisation par l’autorité dont relève l’agent intéressé. La procédure de la demande Les agents qui souhaitent exercer une activité professionnelle accessoire à leur emploi principal, doivent formuler une demande écrite en recommandé avec accusé de réception à leur employeur, en indiquant l’identité de l’employeur, la nature de l’emploi et sa durée,.. L’employeur doit répondre dans un délai d’un mois et, en cas de non réponse dans ce délai, la demande est considérée acceptée. L’exercice d’une activité privée des agents en disponibilité Les agents qui cessent temporairement ou définitivement leurs fonctions et, qui se proposent d’exercer une activité privée sont tenus d’en informer par écrit l’autorité dont ils relèvent un mois au plus tard avant la cessation temporaire ou définitive de leurs fonctions dans l’administration. De plus, tout nouveau changement d’activité pendant un délai de trois ans à compter de la cessation de fonctions est porté par l’agent intéressé à la connaissance de son administration. Références législatives - Loi n°83-634 du13 juillet 1983 portant droits et obligations des fonctionnaires - article 25
- Décret n°2007-611 du 26 avril 2007 relatif à l’exercice d’activités privées par des fonctionnaires ou agents non titulaires ayant cessé temporairement ou définitivement leurs fonctions et à la commission de déontologie
- Décret n°2007-658 du 2 mai 2007 relatif au cumul d’activités des fonctionnaires, des agents non titulaires de droit public et des ouvriers des établissements industriels de l’État
© Fédération CGT Santé Action Sociale - 2015
EMPRUNTS TOXIQUES
- par CGT SEVREY
le 27/02/2015 @ 11:09  EMPRUNTS TOXIQUES : L’ETAT CONTINUE DE GONFLER LES PROFITS DES BANQUES AVEC L’ARGENT DE LA SÉCURITE SOCIALE 26 février 2015 La nouvelle est tombée aujourd’hui : le gouvernement concède 300 millions d’euros pour faire face à la réévaluation du franc suisse et permettre aux hôpitaux de continuer à payer les emprunts toxiques qu’ils avaient contractés, auxquels il faut également rajouter les 100 premiers millions consentis dans un premier temps. Si pour cette nouvelle tranche, les banques ont été sollicitées, il n’en va pas de même des autres crédits dont une part importante repose sur le budget de la Sécurité Sociale. L’Etat paye les banques avec nos cotisations sociales. C’est inacceptable ! Par ailleurs, nous sommes loin du compte pour être débarrassés de ces emprunts toxiques. La Fédération hospitalière de France (FHF) a chiffré à 3,5 milliards d’euros la somme nécessaire pour la sortie définitive de ce piège qui étouffe financièrement un grand nombre d’hôpitaux. Alors que les banques ont rétabli leurs marges, il n’est que temps de leur demander de passer à la caisse et d’éponger ce passif en totalité. Certains commentaires s’émeuvent d’un manque de clairvoyance de notre gouvernement. Au contraire, nous pensons que ce dernier, comme le précédent, en voulant simplement encadrer ce type d’emprunts, a continué de céder aux actionnaires des banques spéculatives, livrant ainsi « la santé publique » aux lois du marché. Nous sommes bien loin des discours du candidat Hollande voulant en finir avec les spéculateurs financiers. Pacte de responsabilité, lois Santé et Macron sont un ensemble de dispositions et textes législatifs au service du MEDEF. Alors que nos établissements craquent de tous côtés faute de personnels, de lits, comme ont pu l’évoquer les situations dans les services d’urgences, continuer sur cette même ligne politique c’est casser notre service public de santé et empêcher les usagers d’accéder à des soins de qualité. Par ailleurs, les conséquences sur les salarié-e-s sont catastrophiques avec notamment aujourd’hui 30 % d’emplois précaires dans les établissements et un blocage des salaires depuis 2010. L’argent existe pour répondre à ces besoins mais le gouvernement privilégie la finance plutôt que l’emploi et les salaires. Permettre à nos établissements de pouvoir fonctionner correctement et redonner ses valeurs au service public de la santé, c’est notamment effacer les emprunts toxiques, recapitaliser les hôpitaux pour diminuer leur charge d’emprunts (plus de 30 milliards d’euros) et mettre en place avec un organisme public le financement des emprunts bonifiés au même taux que celui pratiqué actuellement par la BCE (Banque Centrale Européenne). Montreuil, le 26 février 2015
PROJET DE LOI MACRON
- par CGT SEVREY
le 20/02/2015 @ 06:03 Projet de Loi Macron La CGT condamne le passage en forcemardi 17 février 2015 Devant le risque que le projet de loi Macron ne soit pas voté à l’Assemblée Nationale, le gouvernement a dégainé le 49-3, empêchant le vote. Après avoir choisi d’inscrire dans la loi les propositions du MEDEF sans concertation ni négociation avec les acteurs sociaux, le gouvernement passe à nouveau en force en contournant la représentation nationale. Encore un déni de démocratie ! Si la mobilisation des salariés a permis de faire reculer le gouvernement sur quelques points (secret des affaires, cabotage, et à la marge sur la justice prud’homale), la philosophie générale du projet de loi reste inchangée. Le projet de loi Macron est une loi réactionnaire donnant plus de liberté pour les patrons et moins de droits pour les salariés. Citons en particulier la réforme des licenciements économiques, du travail du dimanche et de la justice prud’homale. Les salariés perçoivent de plus en plus la nocivité de ce projet de loi et les reculs pour leurs droits. Ils l’ont notamment manifesté le 26 janvier et dans de nombreuses luttes en ce début d’année 2015. L’échec du gouvernement à faire voter un tel texte est une première victoire pour les salariés, que nous devons amplifier. Au lieu de passer en force, le gouvernement ferait mieux d’entendre les salariés. Des alternatives aux politiques d’austérité existent. Pour créer des emplois il faut agir pour une réindustrialisation de notre pays et le développement des services publics, pour une autre répartition des richesses, pour l’augmentation des salaires et des pensions. La CGT poursuit son processus d’action, dans l’unité la plus large possible, en développant et multipliant les luttes et met en perspective une journée nationale interprofessionnelle de mobilisation et de grève. Montreuil, le 17 février 2015
LES LIBERTES FONDAMENTALES....
- par CGT SEVREY
le 20/02/2015 @ 06:01 Tribune commune de la CFDT, CFTC, CGT et FO Défendre et renforcer les libertés fondamentales partout dans le mondemardi 17 février 2015 , par Laura Depuis la création de l’Organisation Internationale du Travail en 1919 sur les ruines encore brûlantes du premier conflit mondial, jamais les normes internationales du travail n’avaient semblé autant indispensables qu’aujourd’hui. Au cours de son siècle d’existence, l’OIT a forgé, défendu, renforcé des principes essentiels qui irriguent notre société et ont permis de substantielles avancées sociales. Se souvient-on par exemple que le principe « à travail égal, salaire égal » se trouve dans la constitution de l’OIT (1919) ? Quant à la célèbre formule « le travail n’est pas une marchandise », elle apparaît pour la première fois en 1944, dans la déclaration de Philadelphie, texte qui relance l’activité de l’OIT à l’issue de la seconde guerre mondiale. Le code international du travail dont l’OIT se trouve être l’auteure et la garante, de façon remarquablement tripartite, comprend aujourd’hui 189 conventions et encore davantage de recommandations. Dans de nombreux pays, il s’agit de la seule législation du travail opposable face aux pratiques de gouvernements ou d’entreprises, même si de nombreuses normes sont encore trop peu ratifiées. Leur ratification est d’ailleurs un enjeu de taille pour permettre aux travailleurs et aux travailleuses les plus exposés aux violations de leurs droits dans le monde de pouvoir bénéficier de la couverture protectrice des normes internationales du travail. Faire réellement sanctionner ces violations lorsqu’elles sont constatées est également une évolution fortement souhaitable. Car aujourd’hui, la photographie planétaire du monde du travail est sombre : l’OIT prévoit 215 millions de chômeurs pour 2018 (+ 30 millions depuis 2008). Près d’un terrien sur deux vit avec moins de deux dollars par jour. Plus de 30 millions de personnes sont en situation d’esclavagisme ; 168 millions d’enfants dans le monde sont forcés à travailler. La moitié des travailleurs dans le monde n’a pas de contrat de travail et 70 % sont privés d’accès à la protection sociale. Des chiffres qui donnent le tournis et soulignent avec force la pertinence des normes contre le travail forcé et le travail des enfants, contre les discriminations, pour les libertés syndicales et la négociation collective, pour ne citer que quelques-unes des huit conventions fondamentales de l’OIT. Pourtant, malgré cette absolue nécessité d’un renforcement du rôle de l’OIT, encore exacerbé par les effets dévastateurs de la crise depuis 2008, l’organisation fait l’objet de violentes attaques des employeurs depuis plusieurs années. Dans le cadre tripartite de l’OIT d’abord, à l’extérieur de ses murs ensuite. Commençons par ce second volet d’attaques en citant deux exemples, l’un français, l’autre européen : en novembre dernier, choisissant le moment d’une réunion du Conseil d’Administration du BIT, le MEDEF enjoignait le gouvernement français à dénoncer la convention 158 de l’OIT qui fait obligation à l’employeur de justifier les motifs du licenciement. Une première pour le patronat français ! Quatre ans plus tôt, déjà, le gouvernement grec suspendait les conventions collectives nationales et les dispositions grecques en matière de négociation collective, se plaçant de facto en dehors du périmètre de la convention 98 que la Grèce a pourtant ratifié. Il faudra l’intervention du BIT pour alléger ces mesures suspensives. Mais c’est entre les murs de l’OIT que le conflit est le plus violent. En effet, depuis maintenant plus de deux ans, les représentants des employeurs au sein de l’Organisation Internationale du Travail prennent prétexte d’attaques contre le droit de grève pour affaiblir les régulations mondiales en matière de travail, et plus généralement l’institution elle-même. Derrière cette offensive contre le droit de grève, l’objectif est beaucoup plus grave : sous couvert d’un conflit d’apparence juridique c’est bien le risque de voir les normes du travail et les droits de l’homme devenir une variable d’ajustement dans le monde des affaires qui se profile. Dans ce contexte délétère et malgré l’engagement résolu et déterminé de la CSI, le dernier Conseil d’Administration du BIT à la mi-novembre a été mis dans l’incapacité de prendre la seule décision susceptible de régler au plus vite le différend qui oppose les employeurs et les travailleurs sur le droit de grève : saisir la Cour Internationale de Justice de La Haye, comme le prévoit la constitution de l’OIT. Avec la CSI, ses organisations affiliées en France, CGT, CFDT, FO et CFTC, entendent prendre à témoin l’opinion publique sur la gravité des menaces qui pèsent sur les trop modestes tentatives de « réguler » la mondialisation. Les libertés syndicales en France, en Europe et dans le monde et plus largement les droits et libertés fondamentales ne sont pas négociables ! Signataires : Laurent BERGER, secrétaire général de la CFDT Philippe LOUIS, président de la CFTC Philippe MARTINEZ, secrétaire général de la CGT Jean-Claude MAILLY, secrétaire général de Force Ouvrière
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